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FICHE CHANTIER

  • Maître d’ouvrage Back Europ Immo
  • Maître d’œuvreArchitecte Compère et Cie (Quimperlé)
  • Réalisation Entreprise Jaffré SAS, Groupe Angevin
  • Béton Entreprise Penpenic (56)
  • Dallagiste SIA Sol industriel atlantique (Challans)
  • Ciment i.tech TECHNOCEM 42,5 R PM – CEM II/A-LL 42,5 R CE PM-CP2 NF et i.tech ULTRACEM 52,5 N – CEM I 52,5 N CE CP2 NF de l’usine Ciments Calcia d’Airvault
  • Granulats sable 0/4 lavé de la carrière GSM de Missilac (44)
  • Dates du chantierDébut des travaux en février 2016, livraison prévue pour mars 2017
2016 |

Le béton atteint des sommets

ÉLÉVATION. Avec ses parois de 17 mètres de hauteur, la nouvelle plate-forme de Back Europ à Plougoumelen sort du lot. Coulés en une seule fois, ses immenses voiles de béton ne présentent aucune démarcation.

Haut et beau

Back Europ France, leader français de la fourniture de matières premières aux boulangeries, concentre sa plate-forme logistique et sa centrale d’achats dans un nouveau bâtiment de 16 000 m2 à Plougoumelen, près de Vannes (56). Point de mire de ce chantier : des voiles banchés* en béton autoplaçant de 17 mètres de haut, coulés en une seule fois pour obtenir un parement impeccable. Le dallage du sol, en béton normé Dallage Industriel, devra pour sa part supporter de très lourdes charges. Pour relever ce double défi, le bétonnier indépendant Penpénic, partenaire historique de Ciments Calcia, a opté pour une formulation avec i.tech TECHNOCEM 42,5 R PM CE NF pour les voiles et i.tech ULTRACEM 52,5 N pour le sol, de l’usine Ciments Calcia d’Airvault. Très polyvalents, ces produits répondent parfaitement aux exigences du chantier et présentent de plus l’avantage d’être disponibles à proximité.

À la pointe de la technologie

 Exceptionnel par ses dimensions, le chantier Back Europ l’est aussi par les cadences de livraison qu’il a nécessitées. À raison de 10 m3 par heure, le coulage de chacun des voiles de 17 m de haut a duré six heures, sans interruption, de 7 h du matin à 13 h. À la contrainte des cadences se sont ajoutés plusieurs impératifs techniques : du fait de la hauteur des voiles, la pression en bas des coffrages devenait considérable en fin d’opération. Il a donc fallu recourir à des banches munies de capteurs qui mesuraient en continu la pression en bas de l’ouvrage, pour s’assurer qu’elle restait acceptable. Le béton autoplaçant a également dû passer par des manchettes de coulage : de longs tubes permettant de l’amener au pied des voiles, puis de remonter le point d’injection au fil de la journée. Au total, 2 000 m3 de béton dont 400 m3 d’autoplaçant ont été coulés ainsi, un véritable défi technique.

* Voiles banchés : voiles de béton coulés dans un coffrage, entre deux banches de bois ou d’acier.

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